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Google part à la conquête des systémes d'exploitation

'affrontement entre Google et Microsoft passe sur un autre terrain. Le géant de l'Internet a présenté jeudi 17 novembre son propre système d'exploitation : Google Chrome OS, concurrent direct du célèbre Windows. Google prend le contre-pied de son adversaire avec un système entièrement gratuit et ouvert (open source) qui peut donc être amélioré par les utilisateurs (aguerris).
A l'usage, Chrome OS propose une approche radicalement différente des systèmes classiques. En effet, Google est parti du principe que seul le navigateur Internet est indispensable dans un ordinateur. Il permet de surfer sur la toile, mais aussi de consulter ses e-mails, se tenir informé, regarder des vidéos, écouter de la musique, discuter sur les réseaux sociaux, rédiger et lire des documents... L'utilisation du système ressemblera donc à celle d'un navigateur web regroupant toutes les outils sous forme d'onglets. Mais aucun nouveau logiciel à installer
"Rapide et léger, Google Chrome OS permet aux utilisateurs de démarrer leur ordinateur et de se connecter à Internet en quelques secondes", explique Google dans un communiqué.

"Un environnement informatique radicalement différent"


Dans la pratique, l'ordinateur sera amputé de tout logiciel, pour un fonctionnement plus rapide. "Nous voulons offrir un environnement informatique radicalement différent, adapté à l'utilisation actuelle d'Internet", explique Sundar Pichai, Vice-président produits chez Google. "Nous nous réjouissons à la perspective de développer cette technologie avec l'aide de la communauté open source."
En effet, pour pallier au manque de fonctionnalités sur le système, Google promet de nombreuses applications bientôt disponibles directement via Internet.
Libre et gratuit, ce Chrome OS cible les petits ordinateurs portables de type netbooks. Google précise que les premières machines commercialisées avec le système seront disponibles dès le quatrième trimestre 2010. En attendant, les développeurs peuvent déjà accéder au code source.
L'ensemble semble prometteur pour un usage simple. Toutefois, toute utilisation qui sort de la boucle Internet-tchat-traitement de texte nécessitera un bon vieux système d'exploitation. Enfin, les responsables de Google sont restés bien silencieux quand au modèle économique du système...

Boris Manenti

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google store

vous cherchez des T-shirt google, ou des mugs youtube, voir mieux encore, des tapis de souris à l'éfigie du plus grand moteur de recherche ?
allez sur googlestore, moi j'ai déja mon jolie polo bamboo !

ça me fait penser, la marque google à dépasser la marque Microsoft dee 25 Milliards de dollars ... quelque chose me dit qu'un de ces jours l'un rachétera l'autre ... enfin je dit ça, je dit rien !

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le catalogue Ikea sur Iphone

Et voici le catalogue Ikea en version iPhone.

Ouf, il s'agit du catalogue anglais de chez Ikea UK.

Pourquoi ouf ? Parce que face à l'avalanche prochaine des journaux numériques sur tablet pc ou sur mobile, de catalogues en tous genres des vépécistes et des distributeurs de meubles, il n'y aura dans quelques années qu'un seul cri : "Rendez-moi mon bon vieux catalogue papier !" ;-)

Je vous souhaite un bon samedi.

Vous pouvez allez faire les courses.

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comment fonctionne un écran tactile ?

Un écran tactile est un périphérique informatique qui cumule les fonctions d'affichage d'un écran (pour l'affichage) et d'une souris (pour le pointage).




Sur un écran à technologie résistive, l'impact du doigt ou du stylet met en contact deux conducteurs et fait circuler un courant.


Animation © Tactyl-services.com
Il existe pas un mais plusieurs types d'écran tactile, suivant l'usage que l'on veut en faire : la technologie résistive est pratique pour une utilisation privée. Les technologies à infra rouge ou capacitives projetées sont, elles, adaptées à un usage public.

Résistive : toucher crée une tension

La première, la résistive, est la plus économique et la plus simple. Mais ces écrans tactiles ont aussi la durée de vie la plus courte avec un nombre d'impact maximum de 1 à 10 millions.
Les écrans ? Il s'agit d'un empilement de couches dont deux sont conductrices et séparées par une couche d'isolant. Ces couches sont encadrées par deux barres horizontales, et deux barres verticales. Le tout est recouvert d'un produit augmentant la dureté de la surface et résistant aux rayures causées par un stylet par exemple.
Lorsque l'écran est touché, les deux films conducteurs se mettent en contact : un courant peut alors circuler. L'appareil applique alors successivement un voltage aux barres verticales puis horizontales, et mesure la tension entre le point d'impact et chacune des barres. Les tensions ainsi mesurées sont proportionnelles sur chaque axe à la position de l'impact sur l'écran et les coordonnées du toucher sont transmises au système selon sa résolution.





Sur un écran à technologie infrarouge, l'impact du doigt ou du stylet interrompt le chemin des rayons lumineux.

Animation © Tactyl-services.com

Infra rouge : toucher crée une ombre

Les dalles tactiles infrarouges, enfin, sont très résistantes, notamment au vandalisme. Comme la technologie tactile infrarouge n'a besoin d'aucun support pour fonctionner, il n'y pas d'usure mécanique.
Comment ça marche ? Une dalle tactile infrarouge n'est pas un écran mais un cadre où sont installés des émetteurs et des récepteurs infrarouges. La dalle de verre, donc, n'intervient pas dans la fonction tactile. Elle est fixée sur la partie inférieure du cadre tactile.
Lors d'un impact, les émetteurs et récepteurs infrarouges créent un maillage lumineux, mais invisible à l'intérieur du cadre (zone active). Lorsque l'utilisateur touche la dalle, il interrompt le faisceau lumineux. Les récepteurs privés de lumière infrarouge détectent le point d'impact et transmettent les coordonnées X et Y au contrôleur.
Contrairement aux autres technologies tactiles, les coordonnées sont acquises avant que l'utilisateur ne touche la dalle de verre à une distance d'environ 2mm.

Capacitive : toucher crée un manque

Dans les systèmes capacitifs, une couche qui accumule les charges est placée sur la plaque de verre du moniteur. Lorsque l'usager touche la plaque avec son doigt, certaines de ces charges lui sont transférées. Les charges qui quittent la plaque capacitive créent un manque qui est mesurable. Un capteur dans chacun des coins de la plaque, détermine les coordonnées du point touché. L'inconvénient, c'est que l'on ne peut pas s'en servir avec des gants ! Ces écrans peuvent être utilisés pour les PDA ou les GPS par exemple.


Mais il y a mieux : la technologie capacitive projetée. Le principe est le même que pour le capacitif sauf qu'il n'est plus besoin de toucher la dalle tactile pour créer le "manque" de charges. L'avantage, c'est que l'on peut recouvrir ces dalles tactiles par un écran de verre blindé, très résistant. C'est à coup sûr de cette façon que vous prenez vos billets de train sur les billetteries automatiques.

Et ce n'est pas tout : arrive sur le marché un nouveau type d'écran tactile, crée par la société TouchKO, et capable
d'être commandé dans l'air à 15 cm de distance ! Celui là, il n'a de tactile que le nom...

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La télévision virtuelle pour 2020

Le ministère de la communication japonais vient de créer un groupe de travail mêlant industriels et chercheurs pour travailler sur la télévision virtuelle, une innovation technologique qui devrait voir le jour dans les années 2020. L’objectif de la “Virtual Reality TV” est de voir des images en 3D sous n’importe quel angle avec une qualité proche de celle offerte par la télévision haute définition, ainsi que de permettre de sentir et ressentir les objets regardés.

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Dofus 2.0 : des oeufs sur la Toile



JPG - 222 ko

Sur PC et Mac

Editeur : Ankama

Prix : version gratuite en téléchargement, abonnements possibles de 5 euros par mois à 48 euros par an, coffret "collector ” en vente à 30 euros.

Age : à partir de 12 ans




L’histoire. La province d’Ankama n’est plus tout à fait la même depuis que les six « Dofus » ont disparu. A vous de retrouver ces oeufs de dragon magique. Bon, autant le dire tout de suite, le scénario est un poil enfantin et ne captive guère le quadragénaire que je suis, même bercé aux jeux vidéo depuis sa tendre enfance. Mais là n’est pas l’intérêt de ce jeu.



L’intérêt. "Dofus 2.0", c’est "Dofus" puissance deux. Et là, tout est dit. D’accord, comme la plupart d’entre vous n’ont probablement jamais entendu parler de ce jeu, il faut en dire un peu plus. "Dofus" est un MMORPG. Un quoi ? Un "Massive Multiplayer Online Role Playing Game". Soit un jeu de rôle multi-joueurs jouable exclusivement sur Internet. Mais "Dofus" n’est pas le moindre d’entre eux. Celui là est français, est jouable sur PC comme sur Mac, et il a, surtout, déjà séduit 25 millions de joueurs dans le monde. Avec "Dofus 2.0", son succès ne devrait pas se démentir, bien au contraire. Car le jeu a fait l’objet d’une refonte graphique profonde qui le rend encore plus attrayant. Pour le reste, le titre reste identique avec trois gros points forts : un univers médiéval-fantastique sympathique (avec un design entre dessin animé et manga), une touche d’humour bienvenue (trop rare dans les jeux vidéo) et un système de combats au tour par tour particulièrement accrocheur (avec déplacements et actions sur un échiquier). Au total, le jeu vaut le détour. Reste à savoir si l’acquisition du coffret collector, judicieusement sorti pour les fêtes de Noël, vaut, lui, réellement la peine. Pas si sûr. Car pour s’essayer à "Dofus", mieux vaut d’abord le télécharger gratuitement sur le site d’Ankama, son éditeur. Si la version gratuite vous séduit, libre à vous, ensuite, d’éventuellement souscrire à l’abonnement qui ouvre les portes de la totalité de ce vaste monde et permet de rejoindre des "guildes", c’est-à-dire des communautés de joueurs, pour s’entraider et progresser ensemble. Pour information, six mois d’abonnement coûtent 27,50 euros. Soit à peu près la somme qu’il faut débourser pour le coffret, qui ne comprend qu’un mois d’abonnement, quelques "goodies" très dispensables à moins d’être un fan absolu (une carte, une figurine, un CD de musiques…) et des bonus permettant de faire progresser plus rapidement votre avatar.




Les plus

Un univers accrocheur et mignon

De l’humour

Moins cher que ses concurrents



Les moins

Coffret sans grand intérêt

Débuts un peu lents





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crée ton AVATAR avec Mc Do

A l'occasion de la sortie d'AVATAR de James Cameron, McDonald's propose aux intrnautes de créer leur Avatar à partir d'une simple photo.

Et vous, à quoi va ressembler votre Avatar ?

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Etre entrepreneur français à New York ?

Oui, c'est possible d'être entrepreneur et de lancer son entreprise à New York. De nombreux français l'ont fait et quelque part, c'est certes difficile mais pas aussi "insurmontable" qu'on le pense. La mentalité US permet de décoller rapidement, d'avoir une vision "libérée" et un environnement où tout apparait possible. Ecoutons Philippe Coup-Jambet que je connais depuis longtemps. Philippe a lancé son entreprise Tekora d'abord en France et après un décollage qui reste prometteur, il attaque les US et l'Extrême Orient, en s'expatriant pour donner des chances supplémentaires à cette aventure mondiale. J'ai interviewé Philippe pendant le Web2.0Expo à NY, le 18 Novembre 2009.

1- Pourquoi New York ? Il y a beaucoup de français à NY, et la solidarité y est forte. C'est important dans un moment de démarrage. On peut aussi faire du "Business to Friends", en l'occurence du Business to French.

2- NY est un pôle de développement intéressant. Tout ne se fait pas sur la côte Ouest, dans la Silicon valley. On trouve aussi d'autres endroits fertiles au lancement de sociétés web. Par exemple à Miami (ah, le marché latino...), à Boston (proximité du MIT et de Harvard), et aussi à Montreal (capitale mondiale des jeux vidéos), sans compter New York bien entendu

3- Tous les mois, il y a le Tech Meet-up. C'est important pour les entrepreneurs ; cette manifestation rassemble de manière très conviviale plus de 700 geeks qui échangent dans une atmosphère d'ÉNORME Open Café. On y fait du réseautage et ainsi, tout va beaucoup plus vite.

4- Internet change la manière de travailler. Philippe passe 80% de son temps à New York et 20% à Paris. Ses développeurs sont aux 4 coins du monde, certains dans des pays très "exotiques"


5- Tekora, c'est quoi ? Tekora, c'est une plateforme de sites sur téléphones mobiles. Tekora a aujourd'hui un millier de clients, 60 000 sites en ligne et 20 000 000 de pages vues/mois.

6- Et la crise ? La crise commence à s'estomper. On sent que les entreprises recommencent à recruter, même si c'edst encore timide mais elles recrutent. Les budgets de pubs commencent aussi à se réveiller. (Philippe a un moral d'acier).

7- Le partage des ressources. Philippe pratique largement ce qui est une seconde nature des américains du Web : le partage de ressources et le "co-working". Plusieurs personnes travaillent dans ses locaux, et partagent ainsi les frais et les savoirs. C'est de la bonne intelligence collective...

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Comment Internet a-t-il été inventé ?

Voilà la version très drôle d'Harold's Planet.

Traduction libre : Je m'ennuie ; j'ai besoin d'inventer un truc qui m'occupe et me permette de perdre du temps, tout en donnant l'impression que je travaille...


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copenhague, le film d'ouverture



si vous vous interessez à ce qui se passe, ou ce qui s'est passé à Copenhague dernierement, voila le film d'ouverture plutot émouvant je trouve !

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tutoriel canvas

Canvas - Le graphisme dans un navigateur


La balise Canvas est définie dans le nouveau format de pages HTML 5, et elle déjà implémentée sur la plupart des navigateurs.

Cette nouvelle balise permet d'afficher du graphisme en 2D dans le navigateur et ainsi faire de celui-ci une plateforme d'applications web riches.

La balise n'a que deux attributs: width et height (largeur et hauteur), outre les attributs génériques comme id, name, class... Son but est de marquer l'emplacement où l'on veut insérer une surface de dessin (techniquement appellée "contexte de rendu").



Le corps de la balise n'est pas affiché par les navigateurs qui implémentent Canvas mais seulement par les autres, et constitue donc un moyen de fournir un contenu alternatif.

Utiliser Canvas est très simple, le code ci-dessous montre une application minimale:


<canvas id="c1" width="400" height="100">
Non implémenté.

Cela a défini un emplacement et son identifieur, reste à ajouter un contenu graphique:


var canvas = document.getElementById(c1);
if (canvas.getContext)
{
var ctx = canvas.getContext('2d');
ctx.fillRect(100,0,80,80); // afficher un rectangle plein
}

Pour démarrer le script on peut utiliser l'évènement onload associée à la balise <bodt; ou à l'élément window. Dans la démo on crée la fonction canvasFun() et on l'assigne à onload:


window.onload.canvasFun;

Nous allons étudier dans les prochains articles les méthodes graphiques et leur utilisation.

Compatibilité

Canvas fonctionne actuellement sur:

  • Firefox.

  • Safari.


  • Chrome.

  • Opera.

Pas sur Internet Explorer. Cette compatibilité limitée le destine plutôt aux applications Web, et si on l'utilise pour les pages de sites, il faut que le contenu de la balise fournisse une fonctionnalité de remplacement suffisante. Cela concerne aussi les utilisateurs qui désactivent JavaScript.


Pourra-t-on voir un jour Canvas implémenté sur Internet Explorer, l'article Canvas sous Internet Explorer donne une réponse.


Démonstration


Canvas et Silverlight


Le fonctionnement général de Canvas est proche de celui de Silverlight. Cependant Silverlight permet de définir une interface graphique en langage XAML.

Donc Canvas est plus simple d'emploi que Silverlight, mais moins complet a moins de l'utiliser en combinaison avec XUL.



A voir aussi


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Tutorial jQuery

jQuery est une bibliothèque javascript open-source et cross-browser qui permet de traverser et manipuler très facilement l’arbre DOM de vos pages web à l’aide d’une syntaxe fortement similaire à celle d’XPath (qui est la syntaxe de manipulation d’arbre XML). jQuery vous permet par exemple de changer/ajouter une classe CSS, créer des animations, modifier des attributs, etc. mais également de gérer les événements javascript ainsi que de faire des requetes AJAX le plus simplement du monde.


Pour développer jQuery, il suffit de connaitre un seul objet référencé par la variable “$”. Cet objet est en fait une fonction javascript qui est le point d’entrée de tout le framework, et dont le retour est l’object “$” lui-meme (dont le contexte dépend de la fonction appelée) ce qui permet d’enchainer facilement et rapidement des actions (comme nous le verrons dans les exemples qui suivent).


Maintenant que les présentations sont faites, passons sans attendre aux exemples !


Tout d’abord, jQuery peut etre téléchargé ici sous forme d’un fichier .js normal ou compressé : http://jquery.com.Une fois téléchargé, il suffit de l’insérer entre les balises <head> et </head> de vos pages html.



Exemple : <script type=”text/javascript” src=”jquery-1.2.2.min.js”/>Quelques bases sur la sélection…



  • $(”p”);

    Cet appel retourne tous les éléments P (paragraphes) de votre document : on a rarement fait plus simple.

  • $(”.tata”);

    Cet appel retourne tous les éléments de votre document qui ont la classe CSS “tata”.

  • $(”#toto”);


    Cet appel retourne l’élément de votre document, s’il existe, dont l’attribut ID est “toto”.

  • $(”#titi > span”);

    Cet appel retourne tous les éléments SPAN contenus dans l’élément dont l’identifiant est “titi”. On pourrait écrire cet appel de cette façon également : $(”span”, $(”#titi”));

  • $(”table#tutu > tr:even”);

    Cet appel retourne tous les éléments TR pairs (pour les lignes impaires remplacer “even” par “odd”) contenus dans l’élément TABLE dont l’identifiant est “tutu” (à noter la grande originalité des noms que je donne a mes identifiants…). Cet appel peut etre extremement utile pour appliquer une couleur de fond a toutes les lignes paires par exemple.



A partir de la, vous pouvez appliquer toutes les fonctions de jQuery que vous voulez. En voici quelques exemples concrets (cliquez ici pour télécharger les exemples d’appels jQuery du tutorial et les jouer chez vous) !



  • $(”p”).addClass(”bluebg”);

    Cet appel va chercher tous les éléments P de votre document et leur ajouter la classe CSS nommée “bluebg” si ils ne la possèdent pas déjà.

  • $(”p”).removeClass(”bluebg”);

    Cet appel retire la classe “bluebg” des éléments P du document.


  • $(”p”).toggleClass(”bluebg”);

    Cet appel va alterner les fonctions “addClass” et “removeClass” vues précédemment.

  • $(”p:odd”).css(”border”, “5px solid black”);

    Cet appel va ajouter une bordure noire de 5px d’épaisseur a tous les éléments P impairs.

  • $(”a[href=http://www.google.fr]“).css(”font-weight”, “bold”).css(”color”, “red”).css(”background-color”, “green”);

    Cet appel va transformer tous les liens pointant vers le site http://www.google.fr, comme celui-ci : google.fr c’est par ici !

  • $(”p#testAppend > span”).append(”Hello World !”);


    Cet appel va ajouter du texte a la balise SPAN contenu dans l’élément P dont l’identifiant est “testAppend”.


Quelques effets sympas maintenant !



  • $(”#testAnim”).show(”slow”);

  • $(”#testAnim”).hide(”normal”);

  • $(”#testAnim”).slideDown(500);

  • $(”#testAnim”).slideUp(200);


  • $(”#testAnim”).toggle();

  • $(”#testAnim”).fadeIn();

  • $(”#testAnim”).fadeOut();


Si jamais vous trouvez que la bibliothèque jQuery propose peu d’animation, sachez qu’il est possible de rajouter des plugins ! Voici une petite liste de plugins très intéressants :



  • Interface est certainement le plugin le plus connu : il ajoute énormément d’animations a jQuery. Allez voir la page d’exemples ici


  • ThickBox permet de faire des “popup” html (pour faire des galeries d’images par exemple)

  • UI Datepicker permet de créer des calendriers très simplement

  • etc.


Voila, c’est fini pour cette petite introduction a jQuery. Voici quelques liens qui vous seront certainement utiles :


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Tutoriel: developper une application facebook en 10 etapes

1. Ce dont vous avez besoin

Créer une application Facebook peut être simple et rapide, mais requiert d’avoir quelques ressources à sa disposition. La première chose à savoir avant de se lancer est que Facebook n’héberge pas les applications. Pour en créer une, vous devez donc avoir accès à un serveur sur lequel vous pourrez la déposer. Ce serveur doit aussi être capable d’exécuter un des nombreux langages supportés par Facebook : PHP, ASP, Java, Perl… Passé cela, il suffit de quelques notions de développement Web pour réussir !

2. Facebook Developer Application

Avant de commencer la création d’une première application, vous devez ajouter l’application Facebook Developer (http://www.facebook.com/developers/). Elle vous fournira tous les outils pour commencerla création de vos applications. Une fois qu’elle est installée, lancez l’application Facebook Developper pour créer le profil de votre future application.



3. Remplir le formulaire de création

Cliquez sur Set up a new Application pour débuter (voir Figure 05.35) la création de l’application. Pour l’instant, tout ce que la plate-forme Facebook demande pour créer votre application, c’est son nom. Bien qu’optionnels lors de la création, certains champs sont nécessaires au fonctionnement de toute application :
- Callback URL. Cette URL devra correspondre à l’adresse de votre application, sur votre serveur.
- Canvas Page URL. Cette URL sera l’adresse Facebook de votre application. Chaque application doit utiliser une adresse unique, donc à vous de trouver un identifiant original !

4. Quelques autres options importantes

- Use FBML/Use iFrame. Choisissez Use FBML, c’est le choix le plus courant et le plus documenté.
- Application type : Website/Desktop. Ici, on développe une application destinée à être utilisée directement sur Facebook,
- Can your application be added on Facebook ? Autrement dit : Est-ce que cette application peut être utilisée sur Facebook ? Choisissez Yes afin d’être en mesure d’ajouter cette application sur votre compte, pour la tester par exemple.
Cette dernière action entraîne l’apparition de deux catégories d’options supplémentaires : Installation Options et Integration Point. Dans l’immédiat, cochez Developer Mode dans Installation Options. Ainsi, personne d’autre que son développeur – vous – ne pourra ajouter l’application pour l’instant. Puis recopiez votre Canvas Page URL dans le champ Side Nav URL de la catégorie Integration Point.
Une description détaillée (en anglais) est disponible à l’adresse : http://www.marketing-ninja.com/?p=55.
Une fois ce profil renseigné, Facebook a enregistré votre application dans sa base de données et va fournir deux précieux renseignements pour la suite des opérations : une API-Key et un Secret. Ces deux éléments seront utilisés dans le code de votre application afin de communiquer avec les services fournis par Facebook. Maintenant que l’application est en règle, il est temps de lui donner vie.

5. Choisir son langage de programmation

Le développement d’une application Facebook ressemble à celui d’une application Web, allégée de toutes les fonctionnalités prises en charge par Facebook. Ici, du compte d’un utilisateur à la gestion de son réseau social, tout est pris en charge par la plate-forme.
Facebook propose ses API (Application Programming Interface) pour de nombreux langages. Vous pouvez les retrouver et les télécharger à l’adresse suivante : http://wiki.developers.facebook.com/index.php/Main_Page.
Si vous avez déjà une expérience avec le développement d’applications Web, il y a de fortes chances pour que vous retrouviez des langages connus parmi ceux proposés. Si vous débutez complètement en développement Web, PHP 5 est un bon point de départ. Gratuit, il est à la base de la plupart des guides de développement pour applications Facebook.

6. Un exemple simple avec PHP 5

Commencez par télécharger et décompresser l’API réservée à PHP et déposez-la sur le serveur qui hébergera votre application Facebook. Puis, à la racine de votre application (c’est-à-dire votre Canvas URL), créez le fichier index.php comme suit
require_login();
/*Enfin, le cœur de notre application, dire bonjour ! On affiche “Bonjour”, suivi du nom de l’utilisateur.
?>
Bonjour ' useyou='false' possessive='true' />

7. Le langage de programmation de Facebook : Facebook Markup Language

Les applications Facebook utilisent un langage sur mesure pour décrire leurs interfaces : le FBML (FaceBook Markup Language). Cette extension du HTML vous permettra d’accéder directement aux ressources clés de Facebook, comme les données sociales, tout en vous assurant que votre application s’intégrera parfaitement dans l’environnement Facebook. Voici quelques exemples d’éléments d’interface bien pensés :
- Déjà rencontré, permet d’afficher le nom d’un utilisateur.
- Permet d’ajouter un mur de commentaires à votre application.
- Et toutes les déclinaisons Visible to friends, etc., afin de filtrer finement l’affichage de l’application.
En complément de ces éléments spécifiques à Facebook, il reste possible d’utiliser des éléments HTML pour compléter l’interface de votre application. La référence complète du FBML est disponible sur le wiki de développement Facebook :
http://wiki.developers.facebook.com/index.php/FBML

8. Pour aller plus loin

Pour mieux appréhender les possibilités fournies par la plate-forme Facebook, la meilleure solution reste encore de consulter directement les ressources mises à disposition sur le site officiel (uniquement en anglais pour le moment) :
http://developers.facebook.com/
http://developers.facebook.com/documentation.php
http://wiki.developers.facebook.com/index.php/Main_Page
Documentation sur FQL, le langage de requêtes dédié aux applications Facebook :
http://developers.facebook.com/documentation.php?v=1.0&doc=fql
Guide de développement d’une application simple avec PHP et MySQL :
http://developers.facebook.com/step_by_step.php
Enfin, n’attendez pas que votre application soit finie pour réaliser quelques tests. Utilisez les outils fournis dans ce but :
http://developers.facebook.com/tools.php

9. Finaliser son application

Une fois votre application finie (félicitations !), vous pouvez la diffuser à vos contacts. Pour cela, rendez-vous sur la page recensant toutes vos applications http://www.facebook.com/developers/apps.php et cliquez sur Edit Settings.
Sous la rubrique Installation Options, décochez Developer Mode. Il peut être intéressant de renseigner maintenant quelques autres champs :
- Post-Add URL. Lorsque quelqu’un installe votre application, il est redirigé vers cette URL. Idéalement, recopiez ici la Canvas URL de votre application afin qu’il puisse commencer à utiliser votre application.
- Application Description. Un petit texte pour décrire votre application.
- Post-Remove URL. Après qu’un utilisateur aura supprimé l’application, il sera redirigé vers cette adresse.
- Wide/Narrow. Choisissez ici la colonne dans laquelle l’application sera ajoutée par défaut. Wide (étendue) correspond à la colonne de droite, Narrow (étroite) à celle de gauche.
Enfin, dans les options de base, finalisez votre application en lui associant une icône de 16 ´ 16 pixels. Vous pouvez maintenant donner la fameuse Canvas URL à vos contacts, et elle peut commencer à se diffuser librement sur le réseau.

10. Faciliter la diffusion de son application

Pour que votre application puisse apparaître dans le moteur de recherche de Facebook, et donc augmenter ses chances de trouver de nouveaux utilisateurs, il faut l’envoyer au Product Directory de Facebook. Vous trouverez le lien à la page My Apps de votre application Developer. Pour envoyer votre application, il faut que vous ayez défini une icône et qu’elle ait déjà cinq utilisateurs. Pensez aussi à indiquer dans quelle(s) catégorie(s) votre application doit être classée. Vous pouvez la choisir via le lien Edit About Page. Facebook vous invitera alors à choisir une grande icône pour représenter votre application parmi les résultats de recherche. Après avoir été examinée, votre application devrait être incluse dans le moteur de recherche Facebook et accessible à tous.


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les trucs utiles de facebook

voici les liens qui permettent de crée une page FAN, un groupe, une page pour vos produits, marques etc ..


http://www.facebook.com/pages/create.php pour crée les pages FAN

http://www.facebook.com/groups/create.php pour crée un groupe

voila !

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tabee, la palette tactile

et voila, ça y est, heuuu on y est, l'écran tactile tabee de chez orange vient de sortir, la navigation rapide, simpa, amusante 250 € tout de meme !
comment faire un boom dans le monde de la technologie !! bah avec ça et ça l'être de plus en plus, on vas voir de plus gros écrans arriver sur le marcher d'ici un ans, surement moins même avec ce qu'il sorte pour noel !

enfin, la technologie vas nous en faire voir de toute les couleurs, imaginer maintenant que les sites soient adapter a ce genre de systéme, avec de superbe animation au touché et de la navigation hyper génial !! lol

ya moyen de faire de belles choses avec de procéder, surtout moi tien !
jvé m'y mettre, j'vais faire quelques site sur cet idée la du tactile ..

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Google part à la conquête des systémes d'exploitation google store le catalogue Ikea sur Iphone comment fonctionne un écran tactile ? La télévision virtuelle pour 2020 Dofus 2.0 : des oeufs sur la Toile crée ton AVATAR avec Mc Do Etre entrepreneur français à New York ? Comment Internet a-t-il été inventé ? copenhague, le film d'ouverture tutoriel canvas Tutorial jQuery Tutoriel: developper une application facebook en 10 etapes les trucs utiles de facebook tabee, la palette tactile